Élection présidentielle : Les réformes majeurs de la coalition « Idy 2019 »

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idrissaseck 770x470THIEYSENEGAL.com-La campagne électorale démarre, à chaque candidat son offre. L’éducation, l’économie, la justice, les institutions, la santé sont autant de questions qui préoccupent les sénégalais. Pour prétendre prendre la tête du pays, les candidats doivent d’abord séduire les électeurs à travers leurs programmes. Pour le candidat de « Idy 2019 », la gouvernance, l’économie et la sécurité sont les points clés du programme du candidat de « Idy 2019 ».

Son offre traduit une vision patriotique pour le Sénégal ave plus de compétitivité, de justice, mais aussi la promotion de l’éducation.
La réforme du système éducatif est inscrite en priorité dans le programme de Idrissa Seck. Ainsi, dès son élection à la magistrature suprême, il compte mettre en place le Conseil supérieur de l’éducation qui sera présidé par le Chef de l’Etat lui-même. Dans sa composition, il inclura les meilleurs recteurs d’université, les meilleurs proviseurs de lycées, les meilleurs directeurs de collèges, les meilleurs directeurs d’école élémentaires et de cases des tous petits… Selon Idrissa Seck, le mot « meilleur » aura un contenu concret parce que ceux qui occuperont ces postes auront d’abord fait leurs preuves en produisant des résultats palpables. Pour Idrissa Seck, il est inconcevable que qui que ce soit puisse être mieux payé que les enseignants et les chercheurs.
L’économie, la justice ainsi que les forces armées, occupent aussi une place privilégiée. Le candidat de « Idy 2019 » garanti l’accès universel à l’électricité à tous les Sénégalais et cela avant la fin de son mandat, en 2029.
Grace à la découverte du gaz et du pétrole, Idrissa Seck veut faire du Sénégal, un hub de production d’électricité. Parce que dit-il, si les travaux en cours d’interconnexion du réseau, dont le chainon manquant (Guinée, Cap-Vert …), se réalisent le Sénégal aura un accès direct dans le marché de la CEDEAO en électricité.
Idrissa Seck prévoit aussi de réformer la justice qui aujourd’hui, selon l’opposition est instrumentalisé par le pouvoir en place. Pour permettre son indépendance, Idrissa Seck souhaite un haut conseil de la magistrature sans le chef de l’Etat mais qui inclura les autres corps de la magistrature. Pour lui, il faut associer à l’indépendance des juges leur responsabilité.
Les anciens combattants et les forces de sécurité de manière générale ne seront pas en reste. LRédaction Thieysenegal.com

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