Sénégal-Egypte : Décrypter la dernière hiéroglyphe pyramidale

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THIEYSENEGAL.com : Sauter la dernière haie pour être parmi les élus du Mondial 2022 au Qatar, c’est l’unique équation connue et très simple qui sera posée aux Lions de Aliou Cissé face au roc égyptien, ce mardi 29 mars à Dakar.

A chacun son destin. Celui de l’Equipe nationale sera particulier à l’issue du match du Sénégal-Egypte. Que l’histoire se répète pour Sadio Mané et coéquipiers afin de décrocher une deuxième qualification successive à la Coupe du monde et une troisième de rang pour le pays de la Téranga, après 2002, 2018.

Pour mettre en symphonie cette cadence voire cette commune volonté de vivre ce triomphe vers le Qatar, un seul mot d’ordre à respecter : battre l’Egypte, une équipe qui plie sans jamais rompre, par au moins deux buts d’écart, sans autre forme de match.

Eviter que le match aller, à l’actif des Pharaons (1-0) bégaie sur la pelouse du stade Abdoulaye Wade, flambant neuf, qui abritera le premier match officiel du Sénégal. Un joyau qui trône à fière allure à Diamniadio pour accompagner cette success story. Que de symboles et de repères dans l’agenda sénégalais !

Sans vouloir nous engouffrer dans des schémas technico-tactiques, notre seul désir est d’aller au Mondial car on sait que nous venons du dernier mondial russe. “Niam naniouko mou nekh, dou niou ko bayi”. Autrement dit, faisons répéter l’histoire pour rendre possible notre voyage au Qatar en novembre prochain.

Et jouer une Coupe du monde, une, deux ou trois fois, est un privilège difficile à obtenir, donc faites nous rêver à nouveau après votre beau triomphe à la Can dernière au Cameroun.

C’est vrai, le défi est cocasse, car vous n’avez pas encore réussi à marquer le moindre but aux Pharaons en 210 minutes de jeu. Mais avec en bandoulière, l’exception sénégalaise, vous arriverez à bon port au Qatar.

Que nos prières et notre présence vous y accompagnent dans le fair-play, la discipline, car nous sommes des adversaires, pas des ennemis, et sans costume-cravate.

Gaïndé Ndiaye Barawacc !

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